dimanche 25 janvier 2015

Du tableau vert au tableau blanc interactif



Malgré mes 21 ans, j’ai l’impression qu’un monde sépare ma génération de la nouvelle. Il y a environ 10 ans, j’étais assise sur les bancs d’une école primaire. J’ai grandi en regardant mes enseignants écrire au tableau vert. Je me souviens encore de la joie qu’on ressentait lorsque l’enseignant entrait dans la classavec le chariot qui soutenait la télévision. Laissez-moi vous dire que ce n’était pas une télévision plasma 42 pouces en haute définition. De plus, j’ai eu la chance de faire deux stages dans mon école primaire. Cela m’a beaucoup attristé lorsque j’ai appris que le fameux chariot qui me rendait si heureuse auparavant avait perdu sa place au sein de cette école.

            Par la suite, mon principal défi quant à cette épidémie de technologies dans les écoles serait de les intégrer dans mon enseignement. En fait, je dois davantage les utiliser. Malgré que je suis plutôt de type traditionnel, car j’aime bien tenir des livres et des manuels scolaires dans mes mains, je suis capable d’adapter mes techniques aux nouvelles tendances en éducation comme le tableau blanc interactif (TBI). De plus, je crois que la nouvelle génération d’élèves a besoin davantage de stimulation à cause, entre autres, des jeux vidéo. Les enseignants doivent donc stimuler les élèves en permanence et le TBI est un  des outils à privilégier pour arriver à cette fin.  Selon moi, il faut apprendre à doser entre les nouvelles méthodes et les anciennes.
            Pour terminer, mon principal objectif est d’élargir mes connaissances en ce qui concerne les technologies d’information et de communication (TIC). J’ai utilisé le TBI à quelques reprises dans mon deuxième stage, mais il me reste beaucoup à explorer. Ensuite, il y a plusieurs programmes comme WordQ que je connais très peu, mais qui sont grandement utiles pour les élèves en difficulté d’apprentissage. Comme je suis une future enseignante en adaptation scolaire, je me fais un devoir d’approfondir mes connaissances et de maitriser les TIC et des programmes comme WordQ  qui pourront aider mes futurs élèves.


Bref, nous sommes loin de l’époque des vêtements couverts de craie et des rétroprojecteurs.


Catherine Lemay